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Les spots de surf de Moulay Bousselham

Moulay Bousselham, le paradis des surfeurs au Maroc

Petit village perché entre l’océan Atlantique et la lagune de Merja Zerga, Moulay Bousselham sent bon l’air salé, les poissons grillés… et les planches de surf mouillées. Loin des circuits touristiques classiques, ici, pas de beach clubs branchés ni de rooftops à cocktails. Juste la mer, du sable, des vagues, et une ambiance tranquille. C’est simple : ceux qui viennent pour surfer finissent souvent par rester plus longtemps que prévu.

Les spots de surf de Moulay Bousselham

Ici, on surfe dans une atmosphère détendue, entre deux pêcheurs qui remontent leur filet et des enfants qui jouent sur le rivage. Parfait pour les familles en quête de vacances sportives mais relax. Les pros y trouvent leur compte, les débutants aussi, et les curieux s’y découvrent une passion.

Les meilleurs spots de surf à Moulay Bousselham

À Moulay Bousselham, le surf se vit sans stress. Pas besoin de chercher des heures : les vagues sont là, les spots sont accessibles, et l’ambiance est détendue. Voici les principaux coins où poser sa planche.

La grande plage centrale

C’est ici que tout commence. Longue, large, facile d’accès, la grande plage est le spot principal de Moulay Bousselham. Les vagues y sont douces, régulières, idéales pour apprendre ou se remettre en jambe. À marée montante, elles prennent un peu de hauteur, ce qui ravit les surfeurs plus expérimentés. Il n’y a pas de rochers traîtres ni de courants violents : on y surfe en toute confiance.

Le coin sud, plus calme et peu fréquenté

En marchant un peu vers le sud, on tombe sur une zone plus isolée, souvent délaissée par les écoles de surf. Les vagues y sont souvent un peu plus molles, parfaites pour les tout premiers essais ou pour les enfants. C’est aussi un bon endroit pour ceux qui veulent surfer loin de la foule, avec une vue dégagée sur les dunes et la mer.

L’embouchure de la lagune (à marée basse)

Moins connu, mais intéressant pour les surfeurs plus à l’aise, le coin proche de l’embouchure de la lagune peut offrir de jolies surprises, surtout à marée basse. Les conditions sont plus variables, mais quand ça marche, les vagues forment de belles lignes. Attention toutefois aux courants et à la configuration changeante du sable : ici, mieux vaut connaître un peu le terrain.

Écoles et locations de surf sur place

Inutile de venir chargé, tout se loue sur place. À Moulay Bousselham, quelques petites structures locales proposent planches, combinaisons et cours, le tout dans une ambiance détendue. Rien d’industriel : ici, c’est simple, humain et sans pression.

La location d’une planche coûte en général entre 80 et 120 dirhams la demi-journée (soit environ 7 à 11 euros). Une combinaison peut s’ajouter pour quelques dirhams de plus. On trouve surtout des planches en mousse, parfaites pour les débutants ou les sessions tranquilles.

Pour les cours de surf, il faut compter 200 à 300 dirhams la séance de 1h30 à 2h (entre 18 et 27 euros), matériel inclus. Des stages sont aussi proposés, souvent à des prix dégressifs si on réserve plusieurs jours. Les moniteurs sont du coin, expérimentés, patients, et la plupart parlent français.

Pas besoin de réserver des semaines à l’avance, mais en été ou pendant les week-ends, mieux vaut s’organiser un jour ou deux avant. Et pour les souvenirs, certaines écoles prennent même des photos de la session, histoire d’immortaliser ses premières vagues… ou ses gamelles.

Que faire à Moulay Bousselham après le surf ?

Après la glisse, place à la détente. La lagune de Merja Zerga est le spot parfait pour souffler. On peut y faire une balade en barque avec un rameur local, souvent pour quelques dizaines de dirhams. L’occasion d’approcher les flamants roses, les hérons, les sternes, et parfois même quelques aigrettes. C’est calme, paisible, presque hypnotique. Un petit safari marin pour les enfants, un bol d’air pur pour les grands.

Pour ceux qui préfèrent rester sur la terre ferme, une simple marche le long de la plage ou dans les dunes autour de la lagune fait aussi son effet. On croise des pêcheurs, des enfants qui jouent au foot sur le sable, et parfois même des cavaliers à cheval.

En fin de journée, tout le monde se retrouve au bord de mer. Poissons ultra frais, calamars grillés à la braise, salades marocaines bien relevées. Le tout accompagné d’un thé à la menthe, chaud et sucré, servi face aux vagues. Pas de bars branchés ni de musique à fond, ici la star, c’est le coucher de soleil. L’horizon se teinte d’orange, le vent tombe doucement, et le village s’endort comme il a vécu : tranquille.

Infos pratiques pour une journée réussi à Moulay Bousselham

Comment s’y rendre : Moulay Bousselham se situe entre Rabat et Tanger, le long de la côte Atlantique. En voiture, c’est simple : autoroute jusqu’à l’échangeur de Larache, puis 20 minutes de route. En transport, des bus ou taxis partagés font le trajet depuis Kénitra, Larache ou Casablanca.

Où dormir : Des maisons d’hôtes face à la mer, quelques petits hôtels simples mais accueillants, et parfois des locations chez l’habitant. Ce n’est pas luxe et paillettes, mais c’est propre, calme, et souvent les pieds dans le sable. Réserver à l’avance en été peut être malin, le village est petit.

Restauration : Poissons ultra frais, salades marocaines, tajines maison… et surtout pas de chaînes ni de menus industriels. Les restos du front de mer sont souvent tenus par des familles, on y mange bien, sans se ruiner.

Quelles affaires apporter ? : Crème solaire, maillot, serviette, une combinaison (si vous en avez une), un coupe-vent pour le soir, et un sweat, car le vent peut surprendre. Une paire de sandales, une autre pour marcher, et une bonne dose de bonne humeur.

Argent et paiements : Mieux vaut prévoir du liquide. Il n’y a pas toujours de distributeurs disponibles, et beaucoup de commerces, hébergements ou restos n’acceptent que le cash.

Connexion et réseau : Le réseau mobile est correct, même sur la plage. La 4G passe plutôt bien, mais le Wi-Fi n’est pas garanti partout. Certaines maisons d’hôtes l’offrent, d’autres non. Pour les accros au téléphone, une carte SIM marocaine prépayée peut être une bonne idée, surtout pour Google Maps ou réserver un logement. Bonne nouvelle, nous en proposons chez Hertz !

Que faire dans les environs pour les touristes

Même si Moulay Bousselham invite à la lenteur, les alentours regorgent de petites pépites à explorer, entre patrimoine, nature et bord de mer. Voici quelques idées de balades pour varier les plaisirs pendant le séjour.

Larache, entre port et médina : À une trentaine de minutes de route, Larache mélange influence andalouse et ambiance marocaine. Son port est l’un des plus importants de la côte nord. On y mange des sardines grillées à même les quais, on se perd dans la médina aux murs blancs et bleus, et on admire la vue depuis la Place de l’Espagne, en surplomb de l’océan.

La lagune de Merja Zerga, version nature : Juste à côté de Moulay Bousselham, la réserve naturelle de Merja Zerga est une halte précieuse pour les oiseaux migrateurs, surtout en hiver. Flamants roses, cigognes, hérons… de quoi occuper les enfants avec des jumelles et faire rêver les adultes en quête de silence. Des balades en barque sont proposées : c’est calme, c’est beau, c’est hors du temps.

Asilah, l’arty au bord de l’eau : Un peu plus au nord, Asilah attire pour son centre historique tout peint de blanc et de bleu, ses ruelles fleuries, et ses fresques murales colorées. Chaque été, des artistes du monde entier viennent y laisser leur trace. On y trouve aussi des galeries, des plages aux alentours, et une ambiance plus bohème.

Ksar El Kebir, côté rural : Moins connu, mais pas inintéressant, Ksar El Kebir offre un Maroc plus rural, plus traditionnel. Le marché y est animé, les produits viennent tout droit des campagnes alentours. Pas de grands monuments, mais une ambiance locale sincère, idéale pour ceux qui veulent sortir un peu des sentiers battus.

Ouezzane, pour les amateurs de montagne : Si l’envie vous prend de troquer l’océan contre les reliefs, direction Ouezzane, au sud-est. Connue pour ses olives et ses paysages vallonnés, la ville est nichée dans les contreforts du Rif. En chemin, les routes serpentent entre champs et collines, de quoi changer d’air sans changer de pays.

Chefchaouen, la ville bleue (en bonus, si on pousse un peu) : Bon, on s’éloigne un peu, mais Chefchaouen, c’est le Maroc carte postale : maisons indigo, montagnes en toile de fond, et ruelles photogéniques à chaque coin de rue. Si le timing le permet, ça vaut largement le détour.

Besoin de décrocher, envie de vagues, d’odeur de sel et de poissons tout juste sortis de l’eau ? Moulay Bousselham, c’est ce coin de côte où le temps ralentit et où l’on se dit : “Pourquoi je n’étais jamais venu ici avant ?”

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